Vandélia Cendreline

Nicofestayre · 2012-08-12 23:01:17

Salut tout le monde, je vous fait part du dernier personnages que j'ai imaginé et dont j'aimerai jouer les aventure un petit moment. Petit clin d'oeil à Guerran, qui a souvent voulut jouer des personnages dérangés, en voila un. Pour résumer je dirait que c'est une belle halfeline maline, agile, menteuse, provocatrice, tromatisée, droguée et ayant eu une vie très spéciale car premièrement elle à toujours des parents et à connu l'enfer.

Je sait le BG que j'ai écrit est très long et pourtant il ma fallut même pas une journée pour l'écrire, je dit ça juste pour vous encourager à écrire des BG, c'est bien de ce plongé dans la vie du perso qu'on va jouer et c'est toujours un plus pour le MJ.

Nicofestayre · 2012-08-12 23:11:27

Nom: Vandélia Cendreline
Ethnie: Halfelin
Sexe: Femme
Âge: 27 ans
Activité: Sans profession

Description physique:

Vandélia est une belle Halfeline, elle mesure 76 cm et pèse 16 kilogrammes. Elle a un teint pâle, un visage raffiné, des cheveux telle une onde flamboyante, ces yeux noisette nous plongent dans un regard profond et rassurant.
Sa petite taille lui permet de se faufiler partout, elle est agile dans ses mouvements et fait preuve de minutie dans le travail qu'elle fournit avec les mains.
Elle sait utiliser son faible poids pour se hisser et sauter sur les toitures des bâtisses.

Description psychique:

Vandélia est très profondément blessée par son passé, elle se méfie des hommes, hait ceux qui ne respectent pas les femmes et qui profitent d'elles.
Elle sait utiliser ses atouts féminins de quelques façons qui soit. Elle connaît les manières d'attirer l'attention sur elle mais aussi sait être discrète. Elle peut sembler provocatrice mais quand on la connaît ceci n'est qu'un des nombreux masques qu'elle porte. En effet elle connaît l'art du mensonge et sait se faire passer pour une autre tant dans l'apparence que dans la psychologie.

Histoire:

Vandélia Cendreline, naquit dans une modeste famille citadine d'Halfelins. Sa mère, Peridia, était une mère aux foyer, douce et aimante, elle ne vivait que pour ses cinq enfants et son mari Terraloc. Ce dernier était horloger, son métier le passionner tellement qu'il partager sa passion avec tout ses enfants, mais surtout avec deux d'entre eux, son aîné et sa fille unique.

Elle eut une enfance heureuse, mais difficile pour une fille, en effet elle grandit au milieu de ses quatre frères :
-l'aîné de la famille, Lidon; aussi loin qu'elle se souvient, elle l'a toujours connu avec son père au travail.
-ses deux autres grands frères, les jumeaux Oreloc et Oreboc étaient tous deux très proche d'elle avec seulement un an d'écart, mais aussi, étaient turbulents avec elle et en firent un véritable garçon manqué.
-puis il reste Perridoc le petit de la famille, il était presque comme un fils pour Vandélia avec près de 19 ans de différence.

Durant son enfance, elle vécut comme un garçon, se bagarrant, jouant à l'épée imaginant être un tueur de trolls, ou de dragon vénérable, grimpant sautant de toit en toit afin de poursuivre ses frères partout dans la ville, elle aidait son père dans son travail et aimer ce travail de minutie.

Très vite lorsque Perridoc naquit, elle développa un esprit plus calme et réfléchi, elles se comporter désormais comme une femme, essayant d'avoir belle allure auprès des garçons.

Cependant, elle savait qu'elle n'allait pas tarder à devoir se marier, avoir des enfants et devenir comme sa mère, mais dans sa nature de garçon manqué elle ne voulait pas fonder une famille, et encore moins ressembler à sa mère.

À 21 ans, elle se disputa avec sa mère à propos de sa future vie et partit du domicile familial. Avant de partir elle embrassa son père et ses frères, pensant que ce serait la dernière fois qu'elle les verrait, et leur dît qu'elle se débrouillerait par elle-même et qu'elle ne deviendrait jamais comme sa mère, dont elle déteste le comportement qu'elle définissait de vie passive à changer des langes sales et faire les repas.

Elle prit avec elles quelques affaires, des vivres, quelque pièce d'or que son père lui donna et quelques outils d'horloger, car elle pensée que peut-être elle deviendrait comme son père.

Durant son voyage, elle tomba malade à cause du froid de l'hiver, elle était à deux doigts de la mort, sans toit ni repas, mais un homme la recueillie lui disant qu'il pourrait l'aider. Elle suivit cet homme qui la soigna, lui donna un endroit où vivre dans une grande ville, la nourrit, et ceci pendant plusieurs années.

Mais un jour cet homme à l'air si charitable avec elle, donna à Vandélia une plante à l'odeur enivrante, il lui dit que c'était une herbe à pipe des plus raffinées, elle la fuma car comme presque tout les Halfelins, aime fumer la pipe, au chaud d'une maison douillette, avec un bon repas. Mais elle ne se doutait guère qu'elle deviendrait dépendante de ce doux parfum. L'étreinte de l'homme se refermait petit à petit sur elle sans même qu'elle ne sente le danger arrivé.

Le jour où elle n'eut plus de ce fameux poison à la bonne odeur, elle se rendit compte qu'elle était piégée, elle se sentit d'abord malade, puis ses muscles commencèrent à se contracter, la douleur était insupportable et non mortelle, il lui fallait de cette fleur et elle était prête à tout pour s'en procuré, seulement il y avait une condition pour que l'homme accepte de lui en donné, et pas des moindres, elle devrait vendre son corps à des hommes. elle ne put refuser et commença une nouvelle vie cette fois-ci non plus une vie douce comme elle l'avait connu mais aussi douloureuse, infernale et malsaine qu'une mort lente dans un désert où les charognards vous dévorent alors que vous vivez encore.

Chaque jour elle se vendit à des hommes ignobles et sans honneur. À chaque fois, l'acte immonde lui semblait une éternité où elle repensait à sa vie d'autrefois, chez ses parents, à la vie que mener sa mère, si paradisiaque à côté de ce qu'elle endurait.

Un soir, elle rentra chez l'homme si charitable qui l'avait recueillie pour avoir son dut, sa dose qui lui permettrait de s'évader de ce bas monde où chaque seconde lui semble lente et douloureuse. Mais cette fois-ci l'homme l'attendait dans la chambre, il voulait goûter aux plaisirs de la chair. Elle ne pouvait refuser ce que son hôte lui demanda, elle se prépara quelques instants, fouillant dans ses affaires afin de trouver de beaux vêtements, lorsqu'elle retrouva les outils d'horloger de son père, elle les regarda un instant puis saisie un pointeau et imagina tuer l'homme qui s'apprête à la souiller, le tuer à l'aide de cet outil à la forme d'une longue pique. Elle le cacha dans un repli de ses vêtements là où elle savait, par expérience, que l'homme ne passerait pas ses mains.

Elle alla le retrouver dans le lit, puis ils commencèrent ce qu'elle répugnait à faire mais dont elle avait l'habitude. L'homme commença à la déshabillée et par le plus grand des malheurs, le pointeau tomba du rempli du vêtement, mais l'homme adulé par ce qu'il voyait ne fit attention à l'objet tombé, ils continuèrent l'acte et lorsque l'occasion se présenta, Vandélia saisi le pointeau et le planta dans son hôte à plusieurs reprises, l'homme alors qu'il venait de vivre une jouissance dans les bras de la déesse de l'amour, vécue une terrible souffrance. Dans la chambre éclairée par les minuscules flammes vacillantes des bougies disséminées dans la pièce, les ombres dansantes des deux êtres s'écharpèrent l'une l'autre sur le lieu de leur acte intime. L'homme meurtri se releva et jeta Vandélia à travers la pièce, faisant tomber des bougies au sol et lâchant l'outil de son père qui roula sur le bois sombre du parquet de la chambre. Dans un brusque élan, elle se relava se lança sous le lit afin de rattraper l'objet perdu, l'homme fit de même mais n'avait pas l'avantage d'avoir une petite taille, elle rattrapa l'objet souillé de sang avant lui, puis elle se mit debout, face à la lui, elle ne prit le temps de réfléchir et se darda sur lui pour lui donner le coup de grâce, alors que les minuscules flammes des bougies tombées au sol dévorèrent maintenant le fond de la pièce et projetant sur le mur l'ombre acharnée de Vandélia achevant l'homme à l'âme de démon. Dans sa folie, Vandélia s'acharna sur le corps de l'homme ayant l'impression de le tuer encore et encore.

Lorsque la chaleur des flammes se fit sentir, elle fuit le lieu de la délivrance, avec quelques affaires, des victuailles, l'argent qu'elle avait gagné pour le défunt et n'oubliant pas le manque qu'elle commençait à ressentir, elle prit la réserve du délicat poison dont elle était prisonnière.

Elle eut le temps de sortir de l'habitation les gens la virent sortir de la maison brûlant sous mille feux, elle ne put s'empêcher de rester là à regarder la bâtisse où elle vécut deux longues années d'horreur, se sentant désormais plus libre mais à jamais marquer par cette étape de sa vie. Une fois la demeure réduite en cendres, elle repartit vers la ville ou autrefois elle vécue chez ses parents.

Arriver devant ce qu'elle considérait le plus au monde comme chez elle, elle hésita à rentrer, repensant à ce qu'elle avait dit à sa mère. Mais elle fit le pas et entra, elle vit en premier Perridoc encore enfant, elle se jeta sur lui et l'enlaça aussi fort qu'elle le pus, puis ce fut la même chose avec ses autres frères et son père. Puis vint le tour de sa mère, elle la fixa droit dans les yeux, fondit en larmes et demanda mille pardons avant de l'embrasser. La famille réunit fit un repas où elle raconta ce qu'il c'était passer depuis le jour où elle est partie jusqu'à ce jour heureux de retrouvailles.

Elle resta un mois chez ses parents, mais les blessures de son âme ne se refermèrent pas et elle se rendit compte que jamais elle ne pourrait avoir de réels sentiments pour un homme, jamais elle ne pourrait fonder une famille, avoir une vie normale, elle décida donc de réaliser son rêve d'enfant, de partir à l'aventure, mais plus jamais seul et sans moyens car, qui sait elle pourrait de nouveau faire une mauvaise rencontre, il lui faut trouver des compagnons de confiance mais aussi un nouveau stock de drogue car ce dernier commence à s'épuiser, elle sait qu'elle ne pourra jamais sortir de cette dépendance, qu'elle la gardera comme une cicatrice de ce qu'elle appelle son ancienne vie.

Dernière modification par Nicofestayre (2012-08-13 01:35:58)

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